Mansri: Quinze soupçons de crimes électoraux devant la justice
Le porte-parole de l'Instance supérieure indépendante pour les élections, Mohamed Tlili Mansri, a annoncé que trente soupçons de crimes électoraux ont été relevés, dont quinze ont été transférés au ministère public. Ces cas concernent la diffusion de fausses informations sur les réseaux sociaux.
Il a ajouté que la campagne électorale avance lentement, avec 63 activités déclarées par les trois candidats à la présidentielle. Mansri a aussi évoqué 12 infractions mineures, sans gravité nécessitant une intervention judiciaire, comme l'organisation d'événements non annoncés
Concernant le candidat incarcéré Ayachi Zammel, Mansri a indiqué qu’il reste en course pour l’élection. En cas de recours contre les résultats, les décisions du Tribunal administratif seront appliquées.